Maladies chroniques de la nutrition, l'hypothèse vitesse d'alimentation confirmée par les études

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À partir des années 2000, l’activité de recherche se renforceur les effets du manger vite sur  les maladies chronique de la nutition, et  chaque année apporte son lot de découvertes, avec une répartition relativement équilibrée entre les continents (1/3 USA, 1/3 Asie, 1/3 Europe et Moyen-Orient).

Le Japon est un pays fer de lance pour des études statistiques sur des populations de plusieurs milliers de personnes, qui démontrent une corrélation du manger lentement / manger vite sur la santé : diabète de type 2, obésité, syndrome métabolique.

Plusieurs pays européens et moyen-orientaux étudient des aspects particuliers des influences du manger vite / manger lentement sur les paramètres physiologiques (hémoglobine glyquée, GLP 1, hypertension…).

Il ressort de façon constante un facteur de risque associé sur la prévalence de diabète de type 2 

Les études montrent aujourd’hui que :

  1. Des performances masticatoires plus élevées et une alimentation lente préviennent l'apparition du diabète (Étude Japon, 2013, 6927 adultes).
  2. Un risque plus de deux fois plus élevé de diabète de type 2 a été déterminé chez les sujets mangeant plus rapidement que chez les sujets mangeant plus lentement (Étude Lituanie, 2013, 702 personnes).
  3. Une alimentation lente entraîne des concentrations plus élevées de GLP1 chez les adolescents obèses (Étude Italie, 2013, 18 adolescents).
  4. L'HbA (1c) a augmenté de manière significative avec l'augmentation du taux d'alimentation (Étude Japon, 2013, 7 275 adultes > 40 ans).
  5. La vitesse d'alimentation était associée à l'incidence du diabète (Étude Japon, 2012, 2050 hommes adultes).

Etudes disponibles sur la page www.mangerlentement.fr 

 
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Première explication : par une action naturelle sur l’indice glycémique des aliments : il est démontré (Etude 2015 – Singapour-  « The impact of eating methods on eating rate and glycemic response in healthy adults ») que l’amélioration de la mastication baisse l’indice glycémique des aliments (passage de 81 à 68  de l’indice glycémique du riz avalé).

Seconde explication : par une fatigue du pancréas. Le pancréas est comme un amortisseur qui amortit les pics de sucre. En augmentant le débit du sucre avalé, le pancréas est sollicité plus brutalement.

 

Cet article a été publié par l'équipe Slow Control le spécialiste des fourchettes intelligentes qui aident à manger lentement, facilement et efficacement. 

 
 
 
 

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